LE MALHEUR ET LE BONHEUR
Deux parties de mon cerveau se séparent puis s’assemblent comme si il y en avait une dominante, comme si c’était tout le contraire de ce que l’on pensait vivant. Je pars en vrille, je perds connaissance je perds mes besoins, je n’en n’est plus besoin. Il y a le malheur et le bonheur, un ensemble différent qui se compensent, un ensemble similaire qui se détachent. Je suis tout simplement emprisonné par mon esprit malsain.