L’AVARICE
Les ténèbres restaient morte, enfouie dans mon cœur. Nuages gris et brouillards envahissant. Je suis loin, ailleurs. Le Marabout m’a prédit un avenir paisible, pourtant je ne comprends pas, je n’est encore jamais demandé de mourir. Est-ce que cette fois-ci c’est réelle? Je vis dans l’enfer et meurs dans le paradis? L’avarice du prétendant est comme une fleur qui se déshabille et qui transmet son pollen à celui qu’elle à donnée la chance de la faire mourir. Croyons le ou non tout peut arriver dans ce jour qui comble le bonheur du mal qui auparavant a été vécu. Problème de compréhension et de terrible naïveté. Sales hommes de bonnes familles retournez à votre siècle de maladresse et fichez nous la paix afin de trouver un esprit moins malsain que le votre. Je vomis toute l’angoisse de mon cœur, bonjour l’hypocrisie de notre prochain. Je marche seul sur mon plafond, je pense être dans un rêve, ou du moins je l’espère.