PARANOÏAQUE
L’ange se noie dans le malheur. Le démon nage dans le bonheur. Différente fille a l’apparence d’une innocente portant une pensée déplorable. Je me cache sous une apparence appeler « joie ». Pourtant mon rire est si réel, si fort, si expressif dans la sensation que a mon ventre à se palpiter à chaque soupir envoyé par mon corps à chaque bruit sortant de mes lèvres. Je ris aujourd’hui juste pour vivre, sans voir ce regard noir et sombre que portent mes pupilles souvent cachés le soir sous mes paupières. Chaque petites minutes sont inscrites a jamais dans ce bout de ma tête nommé la mémoire du bonheur, où se cachent quelques phases de malheur devenus aujourd’hui un moment de sincérité habituel.